En 1960, notre équipe de basket du CLB.

Nous jouions toujours sur le macadam du terrain de l'école Pasteur de l'époque.

Le ballon était en cuir, dur dur !

Debout de gauche à droite: Jean Luc Wéry, qui par la suite deviendra le maire de Sains-en-Gohelle, Claude Dambrine, Cebulski, Potel, notre entraîneur, M. Sindera le président.

Accroupis: Léon Lorek, Paul Leroy, Lamourette, et debout un supporter actif qui venait du village d'Houchin.

Paul Leroy

Carte postale de l'école Pasteur de Barlin qui date des années 60.

A l'époque les basketteurs ne connaissaient pas le confort des salles de sport.

Les joueurs pratiquaient leur sport dans la cour de l'école Pasteur.

Peu importe le temps, pluie, vent ou gelée, les basketteurs étaient fidèles au rendez-vous du dimanche matin.

Je me rappelle que nous devions jeter des poignées de sel sur les plaques de glace, avant d'aller se changer dans une salle de classe. Ou encore, il nous fallait passer le balai sur le goudron de la cour pour rendre le terrain praticable. Mémorable!

Dans la cour, à gauche, on distingue le terrain de basketball où l'équipe du Cercle Laïque jouait ses matches.

A l'époque, autour de l'école, des jardins étaient cultivés par les familles de mineurs.

Fin des années 70, une réception est organisée au café "Chez Edith" pour remercier les représentants de la Caisse d'Epargne qui avaient offert des maillots.

Sur la photo, assis de droite à gauche François Moalic le président du CLB et Joseph Brabant maire de Barlin.

Edith est la dame aux lunettes.

Les basketteurs du Cercle Laïque étaient très assidus aux matchs et aux entraînements, mais ils l’étaient encore plus lorsqu’il s’agissait de faire la troisième mi-temps.

Ce rendez-vous incontournable se déroulait au café ‘‘Chez Edith’’ où tout le monde se connaissait, pour une partie de rigolade après l’entraînement du vendredi soir et les rencontres du samedi ou du dimanche.

Puis un jour Edith a cédé son affaire pour s’installer à Lille. Le café Chez Edith est devenu le café de l’Hôtel de Ville, c’était la fin d’une époque joyeuse.